La contrée c'est comme le sexe : si tu n'as pas un bon partenaire, tu as intérêt à avoir une bonne main |
Le couple sanguinaire qui, dans la nuit du 26 octobre, s’était tristement illustré dans le cadre de l’agression sauvage de la Penne/Huveaune (voir notre article : "Le gang des bouchers frappe à la Penne/Huveaune"), a été repéré hier soir sur les lieux même de leur premier forfait.
Un impressionant dispositif a été déployé !
Fort du viel adage disant que les malfrats reviennent toujours qur les lieux du crime, la police avait un plan :
Membres du S.W.A.T. et du G.I.G.N. en étroite collaboration, snipers postés alentours, agents infiltrés dans le voisinage...tout avait été mis en place pour faire cesser cette ignoble série de massacres qui plongent dans la terreur l’ensemble de la population.
Alors que tout semblait calme et que les policiers commençaient à douter du bien fondé de leur action, se produisait l’impensable :
Les malfrats s’invitaient une nouvelle fois chez le couple afin de "remettre une couche" ou "finir le travail" selon les termes employés par des témoins.
Il ont été immédiatement repérés grâce à leur tenue vestimentaire, en effet, ces deux individus étant de pitoyables fétichistes, ils ont poussés la déviance jusqu’à commettre leurs forfaits vétus de t-shirts personnalisés, ces t-shirts ont été identifiés (voir la photo ici) par la police et dénnotent incontestablement d’une forte instabilité et d’une perversion chronique.
Soudain, le couple craque !
Le flagrant-délit était indispensable pour confondre les gangsters et les envoyer à l’ombre pour un bout de temps.
Alors que le plan se met minutieusement en place : blocage du véhicule par les agents infiltrés, carbonara truffées de micros, spaghettis à fibre optique, un évènement inattendu va se produire :
Un dispute éclate entre Stephan et Séverine, la pression était sans doute trop forte.
Le couple s’absente quelques minutes pour régler le problème, à leur retour, plus rien, la table débarassée, les cartes soigneusement rangées, toutes traces du drame effacées.
"C’est comme dans un cauchemar, j’ai parfois le sentiment que ces choses-là ne sont pas arrivées" déclarera Séverine plus tard.
Elle fait actuellement l’objet d’un suivi psychologique.
De bien maigres indices !
La science et la maîtrise des bouchers ne fait plus aucun doute pour la police, à l’inverse de la boucherie du 26, aucun élèment confondant n’a pu être identifié sur les lieux. Les feuilles de scores restent, par exemple, mystérieusement introuvables.
Les enqueteurs n’ont en réalité qu’une seule piste : "Un énorme Q complètement éclaté" ainsi qu’une inscription à même le sol : "B.O.U.L.E." (la dernière lettre demeure illisible).
"C’est peu !" admettait ce matin le commissaire en charge de l’affaire.
Une fuite facile !
C’est à bord d’un puissant véhicule de type "Jumpy" qu’ils ont réussis à prendre la fuite, la police n’arrivant toujours pas à expliquer comment les bouchers ont pu éviter les mailles du filet qui leur avait été tendu.
La population en colère !
La peur est en train de prendre le contrôle de la ville, le peuple gronde sa révolte devant l’impuissance des forces de l’ordre.
Les évènements dans les cités n’étant sans doute pas étranger à cet état de fait comme en témoigne les propos de Samir K., un jeune de banlieue sans histoire :
"Nous on a rien contre monsieur Sarkozy, on veut juste pouvoir promener tranquillement nos pitt-bulls sans risquer de se faire égorger. C’est pour çà qu’on brûle des voitures".
Suite au prochain épisode...
loooolllll !!!!
Partie 1 : 2050 à 1740... tu n’aurais pas oublié de compter nos points de la dernière maine ???